Spyware : Confusion entre spywares / trojans et tracking / profiling
Spyware : Confusion entre spywares / trojans et tracking / profiling
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Spywares : Confusion entre spywares / trojans et tracking / profiling
Il ne doit pas y avoir d'amalgame entre le tracking et l'espionnage.
Le tracking (je vous l'accorde, c'est une forme d'espionnage utilisant bien des outils dont certaines formes de spywares) est essentiellement l'apanage des publicistes et des marketeurs.
Ces gens là vous connaissent mieux que votre mère et consolident ces informations avec celles qu'ils recueillent par vos paiements en carte bancaire ou en chèques, dûment complétés de vos cartes de fidélité, aux caisses enregistreuses de boutiques de plus en plus nombreuses, même à leur corps défendant, à être reliées à des moyens de contrôles. Tout ceci ne sert qu'à établir votre profil et là, oui, certains s'en moquent comme de leur première culotte, bien que ces profils soient utilisés par des groupes politiques ou des sectes pour choisir des victimes.
Mais l'autre espionnage par spyware, qui conduit à des choses comme l'ouverture du courrier ou l'implantation d'un dispositif de type keylogger est une atteinte à nos droits fondamentaux, inscrits dans la Constitution Française et défendus par des textes législatifs très répressifs comme la loi Godfrain. Ce texte vise également la transformation en zombi de nos machines, l'attaque de la page de démarrage d'Internet Explorer, etc. ... Son inefficacité face à l'extraterritorialité des conduites de ces attaques ne rend pas ces attaques insignifiantes pour autant.
Une attitude je m'en foutiste de certains internautes balaye la CNIL, la Constitution, le Droit, la Loi et notre vie privée d'un revers de manche.
Je ne parle pas de l'émergence massive de dispositifs matériels convergents, dont TCPA (Paladium) n'est qu'une infime partie, ajouté aux cartes à puce à radio fréquence (RFID)... destinés à vous surveiller et cerner pour protéger numériquement les droits des autres. Tout n'est que « Droits » à condition que ce soit ceux des autres, dans les inter-couches et au sommet du système d'échanges d'informations, l'internaute n'étant que le dernier maillon de leur chaîne alimentaire. Dans votre navigation "en paix" - "Je suis heureux, laissez-moi dans mon ignorance" - le monde de l'information (les détenteurs des réseaux) a fait de vous un coupable sous surveillance jusqu'à ce que vous prouviez votre innocence et c'est avec cet argument qu'on tente de justifier l'ingérence ultra intrusive dans tous nos biens matériels et immatériels, faits et gestes (y compris, prochainement, dans des détails comme l'ouverture de la porte du réfrigérateur), dans une hallucinante psychose de ceux qui s'arrogent même le droit de breveter le vivant et les ressources alimentaires et sanitaires naturelles de notre planète.
Il ne doit pas y avoir d'amalgame entre le tracking et l'espionnage.
Le tracking (je vous l'accorde, c'est une forme d'espionnage utilisant bien des outils dont certaines formes de spywares) est essentiellement l'apanage des publicistes et des marketeurs.
Ces gens là vous connaissent mieux que votre mère et consolident ces informations avec celles qu'ils recueillent par vos paiements en carte bancaire ou en chèques, dûment complétés de vos cartes de fidélité, aux caisses enregistreuses de boutiques de plus en plus nombreuses, même à leur corps défendant, à être reliées à des moyens de contrôles. Tout ceci ne sert qu'à établir votre profil et là, oui, certains s'en moquent comme de leur première culotte, bien que ces profils soient utilisés par des groupes politiques ou des sectes pour choisir des victimes.
Mais l'autre espionnage par spyware, qui conduit à des choses comme l'ouverture du courrier ou l'implantation d'un dispositif de type keylogger est une atteinte à nos droits fondamentaux, inscrits dans la Constitution Française et défendus par des textes législatifs très répressifs comme la loi Godfrain. Ce texte vise également la transformation en zombi de nos machines, l'attaque de la page de démarrage d'Internet Explorer, etc. ... Son inefficacité face à l'extraterritorialité des conduites de ces attaques ne rend pas ces attaques insignifiantes pour autant.
Une attitude je m'en foutiste de certains internautes balaye la CNIL, la Constitution, le Droit, la Loi et notre vie privée d'un revers de manche.
Je ne parle pas de l'émergence massive de dispositifs matériels convergents, dont TCPA (Paladium) n'est qu'une infime partie, ajouté aux cartes à puce à radio fréquence (RFID)... destinés à vous surveiller et cerner pour protéger numériquement les droits des autres. Tout n'est que « Droits » à condition que ce soit ceux des autres, dans les inter-couches et au sommet du système d'échanges d'informations, l'internaute n'étant que le dernier maillon de leur chaîne alimentaire. Dans votre navigation "en paix" - "Je suis heureux, laissez-moi dans mon ignorance" - le monde de l'information (les détenteurs des réseaux) a fait de vous un coupable sous surveillance jusqu'à ce que vous prouviez votre innocence et c'est avec cet argument qu'on tente de justifier l'ingérence ultra intrusive dans tous nos biens matériels et immatériels, faits et gestes (y compris, prochainement, dans des détails comme l'ouverture de la porte du réfrigérateur), dans une hallucinante psychose de ceux qui s'arrogent même le droit de breveter le vivant et les ressources alimentaires et sanitaires naturelles de notre planète.
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